samedi 24 février 2018

Mandeure - variante le 22 février 2018

  Quand on aime, on ne compte pas : nous revoilà au pied du théâtre gallo-romain...
   Ciel bas, température négative et une bise à 'décorner les bœufs' souffle sans faiblir sur les 28 randonneurs engoncés sous moult doublures.
Sans attendre de prendre racine 'n'est-ce pas René', on met le cap à gauche toute : une petite grimpette jusqu'à la chapelle va nous mettre en jambes, mais il faudra attendre de gagner la forêt pour trouver une température plus clémente.
   Ainsi
nous longerons Mandeure avant de bifurquer sur la droite et, pour gagner encore en température, monter la côte Jeanney (570m) jusqu'en limite d'Ecurcey.
Avant de nous diriger vers le belvédère, une pause énergétique avec boissons chaudes, fruits et sucreries diverses, revigorera tout ce petit monde.
   En surplomb du barrage de Mathay, depuis la passerelle aérienne ou avec un certain recul, chacun pourra admirer la vallée en contre-bas.
Ne reste plus qu'à redescendre par le chemin des roches et vite rentrer au coin du feu.

Merci à Claudine et Hervé pour cette nouvelle version qui colle bien à la température hivernale du jour sans oublier un petit lapin rose prénommé Méline, il a été notre rayon de soleil.

Michèle
















mercredi 21 février 2018

Mandeure le 8 février 2018

    La superbe journée annoncée sur le secteur de Pont-de-Roide était plutôt maussade et humide, peut-être que la sortie raquettes organisée par André Do au Ballon d’Alsace avec les « COSTAUDS » était plus ensoleillée ?
    Nous étions quand même 24 à partir de Mandeure au pied du théâtre Gallo-Romain.
Michèle, notre rédactrice préférée nous fait faux bon, pas grave, son compte rendu du 23 novembre refera l’affaire, et bien non, Louis décide de partir dans l’autre sens, qui l’eût cru ? ce sera l’échauffement le long du Doubs, il reste des Costauds, 4.9 km/h, avant la grimpette en direction du belvédère de Mandeure.
    Quelques centimètres de neige au sol ainsi que sur les arbres illuminent la forêt et nous permet de distinguer un chamois qui prend la pause pendant quelques minutes.
Nous arrivons au point haut, presque 500m d’altitude, c’est la pause, Claudine et Louis distribuent de succulents beignets, passage au belvédère et c’est le retour dans la vallée en visant la chapelle Notre-Dame de Bonsecours qui domine et surveille nos voitures.

Merci à eux pour cette alternative de 10 km et ces paysages changeants.

Alain








dimanche 4 février 2018

Autechaux Roide le 1 février 2018

   La pluie voire la neige annoncées ne sont pas au rendez-vous au stade d'Ecurcey-Roide, et c'est bien tant mieux pour les 31 randonneurs présents.
Aujourd'hui, fallait pas rater le départ, car contrairement à d'habitude nous sommes partis en sens inverse ; en effet nous sommes revenus sur nos pas pour prendre la rue de la Tournerie afin de gagner la forêt. On oublie très vite les 3 degrés, car ça grimpe à un rythme soutenu, mais au premier embranchement, grand dilemme : droite ou gauche ? Maryse et Michel en perdent leur latin, depuis dimanche qu'ils ont reconnu le parcours, il en est coulé de l'eau sous les ponts...
   Nous laisserons sur notre droite le plateau enneigé des fermes de Brisepoutot, puis sur notre gauche en contre-bas, la ferme du Sabotier avec à l'horizon Ecurcey, puis Blamont et au loin Roche d'Or et le massif blanc du Jura suisse, pour gagner Pierrefontaine, admirer son église luthérienne, son lavoir et son petit train.
   Un petit crochet par Blamont où ça décoiffe et ça pince à découvert sur le plateau, avant de redescendre en glissades par la forêt et terminer par le chemin de la vieille Crochère plus carrossable. Que diantre !!! mais ils ne nous ont pas perdus et les horaires ont été tenus. Merci.


   La pause gourmande arrive, c'est la chandeleur avant l'heure, mais il n'y a pas d'heure pour se régaler de délicieuses crêpes sensées rappeler le soleil, les jours qui s'allongent et qui, à l'origine étaient fabriquées à partir de l'excédent de farine après les semailles d'hiver.

Michèle