samedi 27 juillet 2019

Marche de nuit à Villars sous Ecot le 25 juillet 2019

  Depuis le début de la semaine, la canicule s'est bien installée : un soleil voilé, une chaleur étouffante voire assommante nous accueille à 18 h au stade à Ecot.
Est-ce parce que la semaine dernière nous avons posé devant un parterre de fleurs sous des arrosoirs géants qu'aujourd'hui Alain se montre tatillon quant au choix du cadre pour la photo de départ ?
  Le 'gars' qui mène la troupe dit que nous étions 23 randonneurs (pour une fois je n'ai pas vérifié) à partir en direction de la Cabiotte où nous avons failli ne pas arriver dans les temps : de gros blocs de roche ayant été déposés en travers du sentier que chacun n'hésitera pas à escalader ou à contourner.
  A table, nous étions 35 ; des lutins bien intentionnés avaient veillé à l'installation des tables, l'allumage des barbecues et la préparation de l'apéro où sont sortis des glacières nombre d'amuse-bouche tous plus appétissants et rafraîchissants les uns que les autres.
Autour des barbecues, essentiellement des hommes très galants et... Francine, la petite dernière qui a bien pris ses marques. A ses dires : elle adore, ah oui ! les grillades ou ces messieurs ?
  Au retour, pour affronter la remontée avec une fraîcheur toute relative, nous n'étions plus que 21 !!! alors que seule Josiane avait déclaré forfait et pris place parmi les glacières certes allégées mais tout aussi encombrantes. L'énigme reste entière, où et quand avons-nous perdu 1 randonneur ???.
  Les 2 fontaines du village ont connu un vif succès : j'ai même failli y plonger à l'insu de mon plein gré. Il y a eu un feu d'artifices d'éclaboussures et une douche assurée pour Francine et Patrick, si bien que notre photographe portraitiste du soir Lucas a eu bien du mal à y faire sa photo de groupe, la tentation était trop forte surtout en ayant laissé les hommes à l'arrière plan...
  Sous la lumière des projecteurs frontaux, les chiens aboient, la caravane passe. Pas besoin de pousser ou de tirer, tout le monde connaît le chemin des Chèvres (je n'invente rien)où chacun sue à grosses gouttes. Au sortir du bois, nous nous retournons pour contempler l'horizon avec son champ d'éoliennes (quelqu'un dira : c'est quand que le feu passe au vert ?) et sur notre droite, admirer les lumières du Pays de Montbéliard.
  A passé 23 h, la marche semi-nocturne se termine dans la bonne humeur, même pas fatigués.
  A sa grande surprise, Christiane n'a toujours pas mis de gilet ! Quoi de plus normal, il fait encore 28 degrés et à peine un souffle d'air se fait sentir sur les hauteurs du village.
  Qu'est-ce que c'était bien 'tintin', promis nous reviendrons l'année prochaine.
Michèle.












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