26 marcheurs se sont donnés rendez vous sur le parking de la base de loisirs de Brognard. Malgré la météo capricieuse nous démarrons sans pluie en direction de Vieux Charmont en longeant parfois la savoureuse, puis direction Nommay où nous sommes acceuillis par des oies sauvages et 2 magnifiques cygnes qui veulent préserver "leur résidence" de l'étang du Paquis. Arrivée à Nommay une petite giboulée nous oblige à nous couvrir. Retour vers la base de loisir et après un aller et retour de chaque côté de l'autoroute nous retrouvons le parking après 10.6 km. Merci à Claudine pour ses Bugnes et son délicieux Cake.
Guy
dimanche 10 mars 2019
samedi 2 mars 2019
Jonquilles ou campenottes à Vaufrey le 28 février 2019
La traditionnelle journée comtoise de mars se déroulera ce dimanche 03, ce qui nous amène à Vaufrey pour glaner quelques bouquets de « campenottes », celui qui ne connait pas ce mot n’est pas du pays de Montbéliard, là où cette fleur est née du temps du druide du Mont Bart.
En même temps un second petit groupe s’affaire pour la même cause sur les coteaux de Villars-sous-Ecot par cette splendide journée printanière de près de 20°.
Une petite marche de 4,5 km pour le groupe de Vaufrey en bordure du Doubs et au vieux château médiéval de Montjoie nous étire les mollets bien sollicités dans ce côteau en « or ».
Belle journée comtoise à toutes et tous.
Alain.
En même temps un second petit groupe s’affaire pour la même cause sur les coteaux de Villars-sous-Ecot par cette splendide journée printanière de près de 20°.
Une petite marche de 4,5 km pour le groupe de Vaufrey en bordure du Doubs et au vieux château médiéval de Montjoie nous étire les mollets bien sollicités dans ce côteau en « or ».
Belle journée comtoise à toutes et tous.
Alain.
samedi 23 février 2019
Chamesol le 21 février 2019
Avec une température printanière, digne d'un mois d'avril attention à ne pas se découvrir d'un fil, la grippe rôde dans les parages, 30 randonneurs partent gaiement à la suite de Denis, Bernard et Thierry sous un beau ciel bleu et un soleil d'été.
Hé les gars, c'est un peu la pagaille, faudrait voir à vous mettre d'accord et à nous trouver un chemin correct, le raccourci par la sapinière ok, mais que de branchages sous nos pieds ! et faut-il semer des petits cailloux ? mieux vaut prévenir que guérir.
Ouf, très vite nous trouvons le chemin de crête qui traverse la forêt de hêtres. Et là, nous passons en automne, quel plaisir de traîner les pieds dans les feuilles mortes et d'entendre leur crissement sous nos pieds tout en dégageant un nuage de poussière qui stoppe tous badinages inutiles.
Nous passons au dessus de la ferme Journaux (DNA, ER, le Pays), du château de la Roche, magnifique promontoire au-dessus de la vallée de Saint-Hippolyte, pour atterrir à proximité du lieu-dit Les Baraques et nous retrouver en hiver avec des bancs de neige qui enjolivent le paysage. Mais où sont donc nos raquettes ?
A l'unanimité des guides, nous sortons de la forêt pour gagner le point de vue du Sapois, juste au dessus de Soulce-Cernay et du barrage hydroélectrique du Grosbois. Au fond de la vallée nous pouvons contempler le Doubs serpenter jusqu'à Vaufrey et même au-delà de nos frontières.
Nous profiterons de cet endroit ensoleillé et abrité de la bise pour déguster le délicieux pain d'épices confectionné par l'épouse de Denis avant de reprendre la route en direction de Chamesol, tourner à gauche juste avant la tannerie, et là chacun de se rappeler, une rando de l'été dernier qui a marqué les corps et les esprits...
Comme bien souvent, à Montécheroux, nous terminerons par une portion de route jusqu'au parking situé à l'embranchement des deux villages du plateau et, estimons-nous heureux, nos voitures auraient pu être garées au stade...
Félicitations et merci à nos trois guides locaux, pour ce changement de programme inopiné qui nous a fait redécouvrir un petit bout de région connue, mais sous l'éclairage de quatre saisons en un seul après-midi. Bel exploit !
Hé les gars, c'est un peu la pagaille, faudrait voir à vous mettre d'accord et à nous trouver un chemin correct, le raccourci par la sapinière ok, mais que de branchages sous nos pieds ! et faut-il semer des petits cailloux ? mieux vaut prévenir que guérir.
Ouf, très vite nous trouvons le chemin de crête qui traverse la forêt de hêtres. Et là, nous passons en automne, quel plaisir de traîner les pieds dans les feuilles mortes et d'entendre leur crissement sous nos pieds tout en dégageant un nuage de poussière qui stoppe tous badinages inutiles.
Nous passons au dessus de la ferme Journaux (DNA, ER, le Pays), du château de la Roche, magnifique promontoire au-dessus de la vallée de Saint-Hippolyte, pour atterrir à proximité du lieu-dit Les Baraques et nous retrouver en hiver avec des bancs de neige qui enjolivent le paysage. Mais où sont donc nos raquettes ?
A l'unanimité des guides, nous sortons de la forêt pour gagner le point de vue du Sapois, juste au dessus de Soulce-Cernay et du barrage hydroélectrique du Grosbois. Au fond de la vallée nous pouvons contempler le Doubs serpenter jusqu'à Vaufrey et même au-delà de nos frontières.
Nous profiterons de cet endroit ensoleillé et abrité de la bise pour déguster le délicieux pain d'épices confectionné par l'épouse de Denis avant de reprendre la route en direction de Chamesol, tourner à gauche juste avant la tannerie, et là chacun de se rappeler, une rando de l'été dernier qui a marqué les corps et les esprits...
Comme bien souvent, à Montécheroux, nous terminerons par une portion de route jusqu'au parking situé à l'embranchement des deux villages du plateau et, estimons-nous heureux, nos voitures auraient pu être garées au stade...
Félicitations et merci à nos trois guides locaux, pour ce changement de programme inopiné qui nous a fait redécouvrir un petit bout de région connue, mais sous l'éclairage de quatre saisons en un seul après-midi. Bel exploit !
Michèle.
vendredi 15 février 2019
Brevillers le 14 février 2019
A peine sa 'C3 grise' garée, notre cheftaine du jour, Jacqueline prend les commandes et emmène toute sa troupe à travers le village pour gagner la forêt en direction de Châtenois les Forges. Il faut dire que ça fait au moins 2 nuits qu'elle dort mal, le stress la turlupine, c'est sa première, mais elle ne perd pas le nord, ni sa bonne humeur, ni aucun des ses 31 acolytes, alors cool, zen soyons zen.
Très vite nous emprunterons le chemin des Princes (anciennes terres des Comtes de Montbéliard / Wurtemberg qui englobaient Brevilliers) jalonné de bornes en grès et du dolmen du bois des Issières, appelé par les anciens 'pierre des gaulois'. Il s'agit d'une sépulture collective, monument néolithique, dont l'entrée était caractérisée par une pierre perforée pour permettre aux âmes d'aller et venir à leur guise.
Ou chemin de légende de pierres précieuses : il se racontait que certaines pierres implantées par des fées cachaient de fabuleux trésors et que, tous les cent ans, elles tournaient : chacun pouvait alors y prendre possession du trésor à la seule condition de ne point se retourner sous peine de... brrr ! Je vous laisse imaginer... mais aujourd'hui, point de pierres précieuses, ni même de prince charmant en ce jour de Saint-valentin, comme quoi, tout fout le camp !et c'est sans risque que nous retournons sur nos pas.
La seule difficulté de la journée, juste avant de sortir de la forêt, il fallait donner un bon 'coup de collier' pour vaincre un 'coup de cul' très pentu et très humide. Mais effort vite récompensé par le cadre majestueux qui s'ouvre à nos yeux à la ferme des Champs Morel : un paysage à 360 degrés, des Vosges, en passant par le Jura jusqu'au Alpes Bernoises enneigées et le Chasseral qui y culmine.
Nous profiterons de troncs bien ensoleillés sur le bord du chemin pour faire une pose gourmande : délicieux beignets et brownies confectionnés maison, sûrement au milieu de la nuit par notre Jacqueline insomniaque et son binôme Christian.
Ne nous reste plus qu'à regagner le village, longer temple, église et lavoir de la fontaine, féliciter et remercier Jacqueline d'avoir pris l'initiative de nous pousser jusqu'au territoire voisin sur des chemins encore inconnus. Ça y est, tu es libérée, respire.
Michèle.
Très vite nous emprunterons le chemin des Princes (anciennes terres des Comtes de Montbéliard / Wurtemberg qui englobaient Brevilliers) jalonné de bornes en grès et du dolmen du bois des Issières, appelé par les anciens 'pierre des gaulois'. Il s'agit d'une sépulture collective, monument néolithique, dont l'entrée était caractérisée par une pierre perforée pour permettre aux âmes d'aller et venir à leur guise.
Ou chemin de légende de pierres précieuses : il se racontait que certaines pierres implantées par des fées cachaient de fabuleux trésors et que, tous les cent ans, elles tournaient : chacun pouvait alors y prendre possession du trésor à la seule condition de ne point se retourner sous peine de... brrr ! Je vous laisse imaginer... mais aujourd'hui, point de pierres précieuses, ni même de prince charmant en ce jour de Saint-valentin, comme quoi, tout fout le camp !et c'est sans risque que nous retournons sur nos pas.
La seule difficulté de la journée, juste avant de sortir de la forêt, il fallait donner un bon 'coup de collier' pour vaincre un 'coup de cul' très pentu et très humide. Mais effort vite récompensé par le cadre majestueux qui s'ouvre à nos yeux à la ferme des Champs Morel : un paysage à 360 degrés, des Vosges, en passant par le Jura jusqu'au Alpes Bernoises enneigées et le Chasseral qui y culmine.
Nous profiterons de troncs bien ensoleillés sur le bord du chemin pour faire une pose gourmande : délicieux beignets et brownies confectionnés maison, sûrement au milieu de la nuit par notre Jacqueline insomniaque et son binôme Christian.
Ne nous reste plus qu'à regagner le village, longer temple, église et lavoir de la fontaine, féliciter et remercier Jacqueline d'avoir pris l'initiative de nous pousser jusqu'au territoire voisin sur des chemins encore inconnus. Ça y est, tu es libérée, respire.
Michèle.
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