Lundi 05 septembre
1a) BEC
DE L'ORIENT ET PAS DE LA CLÉ
Pour cette première journée de randonnée, départ à 6 du centre de l'Escandille
et nous retrouvons 2 camping caristes en chemin qui se joignent au groupe ; la
météo est clémente, ni trop chaude, ni trop fraiche : parfaite.
Début de randonnée dans les champs pour rejoindre le refuge de Gève.
Nous entrons alors dans la foret et suivons un chemin caillouteux et chaotique
mais la pente et régulière ; petit détour par une magnifique foret qui nous
mène à la Glacière, trou spectaculaire dans la forêt.
Nous reprenons notre sentier qui nous mène au pas de la Clé, avec une
magnifique vue sur les falaises, sur le massif de la Chartreuse et Voiron en
contrebas.
Nous longeons alors la falaise en gardant la vue sur la vallée de l'Isère et
ses noyeraies; la vue est dégagée et le spectacle grandiose.
Arrivés au bec de l'Orient, la vue est superbe et nous sortons le pique-nique
pour profiter de ce panorama.
Le retour se fait par un sentier agréable, agrémenté de curiosités telles
que de beaux arbres et des trous de grottes impressionnants ainsi qu'une
carrière de Lauzes.
Retour au parking pour savourer une petite mousse partagée après cette
randonnée de mise en bouche pour la suite de la semaine qui s'annonce
prometteuse.
Agnès
D
Lundi 05 septembre : Les gorges du Bruyant
1)
Lans-en-Vercors :
gorges du Bruyant et Bec de l'Aigle
Arrivés
hier en fin d'après-midi dans le joli village d'Autrans au centre de vacances
'l'Escandille' mot provençal qui signifie :
'le premier rayon de soleil après la pluie', à 26 nous voilà au pied de
la montagne et c'est là que les athéniens s'atteignirent. Six pour la première
rando (Pas de la clef et bec de l'Orient) plus 2 camping-caristes Agnès et
Jean-Michel, et dix-neuf pour la deuxième (Gorges du Bruyant et bec de
l'aigle), Marie-Claude, pas très en forme, ayant déclaré forfait. Et c'est
parti pour une semaine de randos à travers une infime partie du Vercors.
Covoiturage
jusqu'au centre de Lans-en-Vercors où chacun s'équipe pour s'élancer à la suite
de Christine et Guy, dans la campagne environnante très verdoyante enjolivée
d'une légère brume matinale, avant de s'enfoncer dans la forêt composée en
grande partie de sapins semblables à ceux de notre Haut-Doubs. Qui dit gorges
dit profondeur et pour arriver au fond il faut descendre. Le sentier composé de
pierres et de racines est glissant, la pente parfois très abrupte, aussi il
faut y aller 'mollo' et rester très vigilent. Malgré tout, je tombe sur les
fesses et Jeanne se retrouve les 4 fers en l'air, heureusement plus de peur que
de mal.
Entre
2 parois vertigineuses, où nous prendrons le temps de poser pour la photo de
groupe, nous voilà au fond des gorges du Bruyant qui portent bien leur nom, une
vraie caisse de résonance que nous traversons avant de longer et de traverser à
cinq reprises par des petits ponts de bois, la rivière le Bruyant dont la
source alimentée par les eaux de pluie et la fonte des neiges du plateau des
Ramées coule toute l'année. Déambulation très agréable au son du chant de
l'eau, tout en amorçant gentiment la remontée en passant à proximité d'une
cascade et des restes du moulin de Saint- Nizier dont on trouve la trace en
1636.
Chemin
faisant, un empilement de troncs nous invitera à la pause déjeuner bien
méritée. Puis nous nous dirigerons vers le Bec de l'Aigle de façon à dominer
l'escarpement rocheux qui compose les gorges avant de sortir de la forêt, jeter
un coup d’œil sur le plateau de la Molière où nous serons demain, une belle
grimpette en perspective, admirer les premières colchiques non sans en
fredonner la ritournelle et de regagner notre point de départ et repérer
quelques maisons typiques avec leurs frontons garnis de pierres posées comme
des marches d'escaliers, érigés autrefois pour protéger les toits de chaume des
intempéries.
Une terrasse de bar au centre
de la place du village bien ensoleillée nous invite à un moment de convivialité
privilégié pour clore cette première randonnée. Michèle
Mardi 06 septembre : Les crêtes de Charande
Mardi 06 septembre
2)
Le plateau et
les crêtes de la Molière et de Sornin
Pour
la première rando (les crêtes de Charande), on prend les mêmes et on
recommence. Pour la deuxième (plateau et crête de la Molière), à nouveau
dix-neuf mais aujourd'hui c'est Jean qui déclare forfait, un malade
imaginaire !
Nous
voilà reparti pour Lans-en-Vercors, mais cette fois-ci plus à l'extérieur sur
les hauteurs de façon à réduire un peu le dénivelé même si ça grimpe dur,
d'abord sur un chemin blanc tout en virages, puis par des sentiers pierreux
moins glissants qu'hier, avant d'atterrir dans les premières pâtures au milieu
des troupeaux au son des clarines. Moins de sapins, plus de feuillus, tout en
douceur nous cheminons sous des hêtres tout enchevêtrés le temps de reprendre
notre souffle avant de déboucher sur les alpages à proprement parlé.
Au
premier plan, un beau tapis vert parsemé de cirses, carlines, campanules..., au
deuxième plan, une grande barre rocheuse garnie de sapins, la crête de la
Molière, qui nous attend patiemment avec en arrière-plan, soleil et grand ciel
bleu. Ça y est, le décor est planté, les acteurs n'ont plus qu'à se
l'approprier. Pas de souffleur, aussi les cartes sont de sortie, malgré cela
après moult tergiversations, nous ferons le circuit à l'envers. Pas grave du
tout, d'abord les alpages un vrai régal, nous y apercevrons même quelques
marmottes à flanc de colline, cela nous permettra même, après une sérieuse
grimpette et un petit raccourci, de croiser le premier groupe au beau milieu de
la crête et ainsi de partager le déjeuner tous ensemble face à ce paysage
grandiose.
A
peine réunis, nos chemins se séparent aussitôt, chacun sa route, chacun son
chemin... nous continuons sur la ligne de crête où sorbiers et alisiers
apportent quelques touches de couleur dans la masse sombre des sapins. En
bordure de sentier c'est le domaine des framboisiers, trop tard pour en
grappiller, des épilobes, des grandes gentianes déjà fanées dont on extrait le
racine pour en faire une panacée, ancien quinquina du pauvre, en dessous les
alpages que nous allons retrouver d'ici peu, tout en bas une grande ville
Grenoble, au loin des vallées avec des villages, puis des montagnes et encore
des montagnes : la chaîne du Vercors.
La
descente, un kilomètre plus courte que le montée, est obligatoirement plus rude
surtout pour les genoux, n'est-ce pas Christine ? Aie aie aie, elle va
galérer pour terminer le parcours même si Dany, en chevalier servant, a avancé
son carrosse pour lui éviter la dernière portion.sur la route. Tout ce petit
monde, bien que comblé par cette deuxième randonnée sur les sommets, est bien
fatigué et donc empressé de tirer les rideaux.
Michèle
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Mercredi 07 : le plateau de Beure
3)
Hauts plateaux
du Vercors - Le col du Rousset
Aujourd'hui,
pour les deux randos, un seul objectif, les Hauts Plateaux du Vercors, région
sauvage et protégée entre Isère et Drôme, par les gorges du Méaudret, au départ
du parking de Beure, en bas des pistes de skis du col du Rousset. La première
s'élancera à la suite du guide Lilian et verra son effectif grossir de quatre
nanas dont bibi, la seconde suivra Marie.
Le
moins que l'on puisse dire c'est que ça grimpe tout de suite, d'abord sous les
télésièges puis à travers un pâturage réservé aux moutons dûment surveillés par
de beaux patous, éreintant et rien de
grisant. Heureusement effort récompensé par la vue dégagée au sommet du col du
Rousset sur les Hauts Plateaux du Vercors.
Puis
nous virons à gauche et avançons tout droit dans ce massif des Préalpes où
poussent quelques sapins et de rares arbustes, à travers un relief de falaises,
de crêtes, de dolines, de vaux, de gorges, de bergeries. Nous contournons un
mamelon, traversons des champs de pierres ou lapiaz avec en point de mire à
l'horizon le grand Veymont, point culminant du massif, 2431m, apercevons le
rocher appelé Dent de Die, traversons le pas de Econdus, entrons dans la
réserve naturelle pour arriver enfin à la carrière romaine à près de 1800m. Une
voie romaine existait entre Die et Grenoble, la carrière fut vraisemblablement
exploitée pour des monuments de la ville de Die. Site remarquable où l'on
aperçoit encore des blocs de pierre taillés dans la roche et des morceaux de
colonnes.
C'est
au milieu de cet amoncellement hétéroclite, dans la plaine du Queyrie que nous
nous installerons pour la pause déjeuner. Nous verrons même une colonne de
cavaliers traverser calmement cet endroit désertique, sec et aride, balayé par
les vents, haut-lieu de la résistance dans le Vercors dont notre guide prendra
le temps de nous parler en fin de repas, malgré un ciel menaçant et des
prévisions météorologiques à la pluie, et c'est presque au pas de course que
nous reprendrons le chemin en sens inverse.
Finalement,
nous avons manqué de temps, il a fallu sortir capes et parapluies et terminer à
la débandade sous la pluie, chacun pressé d'y échapper. Ouf, elle est partie
aussi vite qu'elle est arrivée, et de retrouver le parking, transpirants sous
nos épaisseurs où ceux et celles de la deuxième rando y avaient échappé, bien à
l'abri dans les voitures.
L'attraction
du jour, à l'aller comme au retour, fut sans contexte l'apparition de marmottes
qui semblaient poser pour la photo, déambulant autour de leurs terriers sans
tenir compte de nos allers et venues, c'était presque à nous de les éviter.
Encore une belle rando très différente des deux premières, libérés des
contraintes GPS, chacun a pu profiter à 100% du paysage lunaire des Hauts
Plateaux du Vercors.
Michèle
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Jeudi 08 septembre
4)
La Croix
Perrin – La Molière
Toujours
deux randos (la première aux gorges du Bruyant et au Pas de la Bergère)
seulement six participants, les deux camping-caristes ayant repris la route, à
qui nous conseillons de faire le circuit à l'envers de façon à remonter les
gorges, et la deuxième improvisée par Gérard et Bibi car nombre de randonneurs,
exténués par ces trois premiers jours, ont déclaré forfait. Nous décidons de
retourner au théâtre avec les crêtes de la Molière, quand on aime, on ne compte
pas, mais en prenant le départ au col de la Croix Perrin 1218m et promis nous
les parcourrons en totalité.
C'est
donc à huit que nous entamons la montée à travers la forêt jusqu'à Bellecombe
où mardi nous avions bifurqué pour redescendre. Presque deux heures par des
sentiers tantôt plats, en devers, caillouteux, défoncés par les débardeurs,
doux avec les aiguilles de pins, sans faire aucune photo. A la première fenêtre
qui s'ouvre dans cette verdure, comme à notre départ du brouillard, ça promet
pour le panorama ! Mais au fur et à mesure de notre progression, le ciel
se dégage et arrivés sur les crêtes, comme par enchantement, le spectacle est
là, au-delà des montagnes du Vercors, nous n'avons point la berlue, nous les
apercevons bien ces sommets enneigés des Alpes Françaises, époustouflant, cela
valait bien un bis.
C'est
face à ce spectacle grandiose, presque à l'endroit même où nous étions posés
mardi que nous faisons halte pour dévorer nos casse-croûte. Au cours du repas,
une discussion s'engage, si nous voulons aller jusqu'au bout, il reste encore
environ deux kilomètres aller autant pour le retour, nous allons exploser les
compteurs de la semaine. Gérard préfère nous attendre tranquillement en
observant le paysage avec ses jumelles. Nous lui laissons nos sacs à dos en consigne et nous voilà
repartis en pays connu jusqu'au Pas de l'Ours,
puis au raccourci emprunté lors de notre précédent passage et de poursuivre
jusqu'à l'extrémité du plateau de la Molière. Pas même une auberge pour y
prendre un petit café, juste un guérite pour s'abriter en cas de mauvais temps
et une table d'orientation, nous sommes à 1632m, aux première loges pour
admirer les sommets alpins enneigés qui se découpent à l'horizon, mais point de
Mont Blanc, il joue le grand timide et reste caché dans les nuages.
Oui,
Christine, il y avait bien deux tables de pique-nique mais l'une avait les
pieds dans l'eau, alors pas de regret, tu n'aurais pu y loger tes dix-neuf
randonneurs.
Y
a plus qu'à … rebrousser chemin, retrouver Gérard, se gaver encore et encore de
ce paysage époustouflant avant de s'engouffrer dans la forêt pour une très
longue descente.
Entre
ciel et montagne, au cœur de la forêt de Lans-en-Vercors, l'auberge de la Croix
Perrin, ancienne maison forestière, nous accueillera pour un rafraîchissement
amplement mérité.
Michèle
Jeudi 08 septembre
Les gorges du Bruyant
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Vendredi 09 septembre
5) Pont-en Royans Boucle via le Paradis – Grotte de Choranche
Aujourd'hui,
un seul groupe, tout le monde répond présent, un seul et même circuit avec en
fin de journée, une cerise sur le gâteau, la grotte de Choranche.
D'abord
emprunter les gorges de la Bourne pour gagner Pont-en-Royans, entre montagne et
rivière que nous quitterons de suite pour gagner la campagne environnante.
Changement
de décor, nous sommes en dessous de 500m, tout est vert. Dans les jardins nous
apercevons des figuiers, kiwis et même bananiers, dans les pâtures des chevaux
aux crinières envahies de bardanes ou cagnottes, dans la plaine du regain
fraîchement fauché. Nous longerons des vignes, traverserons des champs de
noyers pour atteindre Saint-André-en-Royans, joli village typique adossé aux
contreforts du Vercors avec autour de sa place centrale par ordre d'ancienneté,
la maison forte de Saint-Just de Claix, le château des Pruniers et l'église
paroissiale au plafond en bois ouvragé que nous avons pu admirer grâce à
l'intervention d'un élu. Nous profiterons d'une vue plongeante sur le village
pour nous poser à l'ombre des noyers pour échapper à la chaleur de midi et
casse-croûter.
Puis
nous reprendrons la route pour finalement arriver au Paradis et dominer
Pont-en-Royans, qui tire son nom du pont qui enjambe la Bourne érigé dès le
Haut Moyen-Age. Village médiéval très touristique qui se caractérise pars ses
escaliers nécessaires pour descendre du paradis jusqu'au niveau de la rivière,
ses maisons suspendues à flanc de vallée, architecture unique dans le Dauphiné
et son musée moderne de l'eau ouvert en 2002.
Nous
traverserons le pont pour trouver un peu de fraîcheur le long de l'autre rive
avant de revenir aux voitures, reprendre la route et gagner l'entrée de la
grotte de Choranche, au pied des falaises de Presles qui forment un cirque naturel dans les gorges
de la Bourne où là encore une bonne centaine de marches nous attendent mais
plus au frais.
Comme d'un coup de baguette
magique nous passons de plus 30 à 10 degrés, de la pleine lumière à la nuit
pour admirer sans compter les nombreuses fistuleuses ou stalactites
creuses ou plus vulgairement dénommées
spaghettis, dont certaines peuvent
atteindre trois mètres au son de la Serpentine, rivière souterraine qui forme
des gours et un lac souterrain donnant naissance à une cascade à l'extérieur de
la grotte. Autre particularité, les protées, batraciens rescapés de l'époque
des dinosaures présents en ces lieux pour un projet de recherche et de
protection de l'espèce. La visite se termine, nous n'avons pas vu l'heure
passer, tout éblouis par un tel spectacle.

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Pas de la clé et bec de l'orient
samedi 10 septembre
6)
Col Vert au-dessus de Villard-de-Lans
Dernier
jour, le programme est tout chamboulé : pour la première rando, conseillés
par le guide, le choix se porte sur le Col Vert au-dessus de Villard-de-Lans,
je viens grossir les rangs; pour la deuxième, à cause de travaux routiers
impossible de faire celle prévue aussi elle est remplacée par celle non faite
jeudi à savoir Le Pas de la Clef et le Bec de l'Orient. En cours de route, un
raccourci sera improvisé. Dur dur la fin de semaine...
Sur
le parking des Clots, il fait frisquet, Marie-Thérèse enfile ses gants faisant
des envieuses, après consultation de la carte, discussion avec des locaux, nous
voilà partis par un chemin blanc très praticable. Dis Martine, c'est normal
qu'on descende alors que nous avons plus de 700m de dénivelé à faire ? Une
vérification s'impose, à priori c'est tout bon ! Il suffit de lever les yeux, une falaise
énorme avec, découpée dans sa masse, une échancrure, le Col Vert qui, une fois
atteint, devrait nous offrir un panorama spectaculaire sur Grenoble et les
montagnes alentours. A sa base, on dirait même qu'une fine couche de neige est
tombée durant la nuit ? Non, juste un effet d'optique. Après avoir dépassé
la bergerie, traversé une prairie, ça grimpe fort sous les sapins, Besoin d'une
pause ? Suffit de demander : dis Martine c'est normal... et de
s'arrêter, de sortir la carte et nous voilà tout guillerets pour repartir,
sortir de la forêt, traverser les Alpages au milieu des troupeaux avant que ça
ne se complique sérieusement; le sentier se réduit à sente puis à un raidillon
tout en lacets et en cailloux, passage délicat escaladé avec succès sauf que le
brouillard, poussé par le vent, a mis moins de temps que nous pour arriver à la
cime du Col Vert 1766m. Peu de panorama sur Grenoble mais vue dégagée sur
Villard-de-Lans jusqu'à Autrans. Nous nous en contenterons avant de redescendre
nous mette à l'abri du vent pour nous installer sur un rocher ensoleillé,
rajouter une épaisseur et casse-croûter.
Le
reste du parcours se fera sans problème en évitant la zone de racines sous les
sapins mais avec un petit rajout pour cinq d'entre nous, un détour par une
jolie cascade dans les bois, histoire de rajouter quelques cailloux et 50m de
dénivelé.
La
semaine dans ce massif du Vercors en moyenne montagne entre Isère et Drôme, se
termine sous le vol de vautours fauves qui magnifient cette énième facette.
Un
grand Merci à tous les organisateurs, les chefs de file, la MPT et les 26 voire
28 participants qui repartent les valises plus lourdement chargées de produits
du terroir : bleu du Vercors, vin de noix, confitures de châtaignes... de
quoi gâter leurs proches.., sans oublier le dicton donné par le directeur de
l'Escandille : un séjour à Autrans, la santé pour longtemps. Prenez bien soin
de vous et à très vite sur les sentiers.
Michèle
Fin d'une belle semaine ensoleillée et pleine de souvenirs