vendredi 22 janvier 2021

Les insolites au féminin le 21 janvier 2021

 Avec des mesures sanitaires toujours bien ancrées et un hiver plus rigoureux, les jeudi se suivent et se ressemblent ... faute de se retrouver et de crapahuter à travers la campagne plus ou moins enneigée, je vais repartir dans des histoires à dormir debout mais en m'appuyant sur la réalité et rira bien qui rira le dernier. Je m'explique, pour conter des pérégrinations tout en restant à la maison, il fallait bien que je trouve un fil conducteur et bien dorénavant, vous en serez les principaux acteurs. En effet, avec Alain reporter photographe, nous avons fouillé nos archives à la recherche de pépites dénommées Insolites que je vais prendre un malin plaisir à commenter et pour démarrer,  je vais  réserver la primeur à ces dames, car c'est bien connu il ne faut pas oublier d'arroser les belles plantes, attention c'est parti, j'ouvre le jet...




Aujourd'hui Marie-Thérèse aurait bien troqué pour un après-midi seulement, ses 8 petits-enfants contre 8 grands enfants, en surnombre ? pas grave, elle en aurait bien égaré 1 ou 2 dans les bois lors de son parcours de santé : surtout bien coller à ses basques car 12 km peuvent facilement se transformer en 18 !

Pourquoi, à chaque fois que l'on s'approche d'une aire de jeux, ces dames replongent en enfance ?






Petite, Jeanne devait sûrement rêver de devenir cavalière 'à dada sur mon bidet, quant il trotte il fait des pets, au pas, au trot, au galop' Pas d'imprudence Jeanne, une chute est si vite arrivée...

Quant à Marie-Claude et Maryse sur leur drôle de carriole à bailler aux corneilles 'un jour mon prince viendra'... avec l'épiphanie les soupirants ne manquent pas et c'est genou à terre au pied de sa belle que le beau René est sacré roi (d'un jour).

Que dire de Josiane et Michèle qui n'ont pas résisté à l'attrait de la balançoire pour essayer d'attendre le ciel 'ça balance pas mal à Paris, ça balance aussi' et ici dans tous les sens du terme, au propre pour le plaisir et au figuré pour en rire.

Elles ne sont pas les seules d'ailleurs, Marie-Claude se laisse balancer au rythme léger du vent, madame se dore la pilule au soleil, mais où est donc parti batifoler son bon roi ?



Et Jeanne, et Christine et nous toutes de nous donner la main pour une grande ronde à travers la cour de l'école 'dansons la capucine, y a pas de pain chez nous, y en a chez la voisine mais ce n'est pas pour nous'. De notre temps, nous aurions continué avec la marelle, le mouchoir ou la chandelle sans craindre aucun microbe, ah la nostalgie du bon vieux temps ! autre époque, le jeu n'en vaut plus la chandelle il a cédé la place aux ordinateurs et consoles de jeux, moins contaminants et plus adéquats pour rester à la maison et dans les cours de récréation chaque enfant se retrouve bien isolé.

L'heure de la récréation terminée, récupérez vos bâtons, vos sacs à dos et veuillez à recoller au peloton 'ne partez pas sans moi'.



Avant de nous quitter, ne pas oubliez de souhaiter une bonne fête à notre montagnarde Agnès, discrète et toujours souriante. Le dicton du jour : 'Pour Sainte Agnès et Saint Fructueux, les grands froids'. Je n'invente rien, alors si vous répondez à son invitation dans le Haut-Doubs, sortez couverts. 




La carte postale de la semaine : Une trentaine de moniteurs à ski à Métabief, à l'instar de la plupart des stations de montagne à travers la France, ont gravi la Renversée à pied pour une descente à skis aux flambeaux, juste avant le couvre-feu, non pour faire la fête mais pour manifester contre leur prise en otages dans la tempête covid.

Michèle

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